Bientôt 17 heures, l'heure de l'apéro, juste pour lancer la soirée^^
jeudi 31 décembre 2009
Le 31 du mois de décembre...
Bientôt 17 heures, l'heure de l'apéro, juste pour lancer la soirée^^
samedi 26 décembre 2009
Go on home
C'est un peu court, je trouve...Passer ainsi sous silence 8 siècles d'occupation et d'oppression britannique, ça sent l'analyse poussée. Journaliste un jour, limité toujours.
Pour résumer les faits,
les 6 comtés de l'Irlande du Nord n'ont pas été séparés du Royaume-Uni depuis la partition de l'Irlande lors du Traité mettant fin à la guerre de libération, initiée par l'insurrection nationaliste des Pâques 1916. Alors que dans les 26 comtés constituant l'Eire ( Irlande du Sud, quoi^^), la communauté protestante n'a jamais fait l'objet de discriminations, d'intimidations voire de violences physiques allant jusqu'à l'assassinat pur et simple, ce ne fut pas le cas dans le Nord où, sous l'influence de la Loge d'Orange ( ordre maçonnique particulièrement réactionnaire...), les pouvoirs publics ont longtemps considéré les Catholiques comme un ennemi de l'intérieur et l'ont traité comme tel. Car il est toujours bon d'avoir un ennemi à désigner à "ses" prolétaires quand on veut maintenir les privilèges d'une oligarchie sectaire et ne pas finir la semaine, à Londres, à poil dans le caniveau, une main devant, une main derrière...
Quand sous l'influence délétère de la pop-music, des cheveux longs et d'une dialectique marxiste adaptée au crachin local, les baby-boomers catholiques se mirent à prendre conscience qu'ils avaient malgré tout quelques droits civiques...
Inutile de dire qu'ils furent bien reçus...Tout le monde a entendu parler du Bloody Sunday. Même U2, c'est dire^^Qu'en dire de plus ? A part que cet "incident" restera à jamais comme la meilleure campagne de recrutement de l'Ira-provisoire, ainsi nommée pour la distinguer de l'IRA-officielle, un tantinet vieux jeu et ayant eu le tort fatal de renoncer très vite à la lutte armée au grand dam des énervés juvéniles...
Et pourtant...(*)
( en cours...)
mardi 22 décembre 2009
Born to be Noob
Ils n'ont aucune chance, les veules. Aujourd'hui, on le sait bien, la Jeunesse n'est pas révolutionnaire...Précaire, vulgaire, acculturée, oui, manipulable comme les autres générations l'étaient aussi...Les jeux-vidéo, la télé-réalité et Internet l'ont pas mal zombifié aussi, faut bien l'admettre...Mais la croire prête à bondir pour jeter à bas les Bastilles du Cac40, à prendre d'assaut le Palais d'Hiver du Medef et à exiger en AG plénière que les femmes dansent nues sous les dolmens, ça, j'ai comme des doutes^^
C'est dommage toute cette énergie non-renouvelable non-utilisée quand même...Pauvres jeunes.
Alors qu'ils pourraient s'amuser sainement en dressant des barricades, bloquer les moyens de transports et paralyser l'économie en ne risquant même pas la révocation ( juste un tabassage en règle agrémenté de gazage, tazer dans la glotte et flashball en tir tendu si affinités^^), faut qu'ils se contentent de pleurer en public la mort de Michael Jackson ou de se faire carroter par Pete Doherty...C'est pas sérieux !!!Va vraiment falloir remettre les vieux au boulot !!!^^
dimanche 20 décembre 2009
Evolution = piège à cons
Interrogé aux sujets des propos de Chuck Norris, dans le cadre discret de son bureau, situé au troisième sous-sol d'un parking de Beyrouth , les seuls commentaires du porte-parole anonyme du Hezbollah ont été "il vient quand il veut Chuck, j'vais lui masser sa mère à c'te baltringue".
*= le Full-contact & Introspection est un peu à la Philosophie ce qu' est le Consulting est à la Constitution immédiates de Conseils ouvriers^^
Pauvre France...
Quant à la Famille royale, je dois dire que je n'en suis qu'à distance les "exploits"...Le grotesque poussé à un tel paroxysme, franchement, ça devient dangereux...Mais dans un pays où on doit acheter 10000 DVD de Bigard pour un exemplaire de "la Société du Spectacle", qui s'en soucie ? En 2012, on restera les deux pieds dans la bouse !!!
En effet, même dit avec une intention humoristique, des expressions comme "sac à merde", "raclure syphillitique de bas-étage", voire "Maître Lefevbre" pourraient pousser l'intéressé à se plaindre...Et Dieu sait qu'il est effroyablement doué dans ce domaine, cet insane trouduc^^
mercredi 11 novembre 2009
Quand on est con...
Le président américain Barack Obama a affirmé mardi qu'aucune religion ne pouvait justifier des gestes "meurtriers et lâches" comme la tuerie de Fort Hood, au Texas, lors d'une émouvante cérémonie en hommage aux victimes sur la base militaire. Dans son discours, M. Obama a exalté les grandes valeurs américaines et dit l'incompréhension devant la tuerie de jeudi attribuée au commandant Nidal Hasan, un psychiatre militaire d'origine palestinienne.
"Nous sommes en temps de guerre. Pourtant ces Américains ne sont pas morts sur un champ de bataille étranger. Ils ont été tués ici, (...) au coeur même de cette grande communauté américaine. C'est ce qui rend cette tragédie encore plus douloureuse et encore plus incompréhensible", a dit le président.
C'est pas beau Hollywood ?..
John Allen Muhammad, qui se fit mondialement connaître en 2002 comme le "sniper de Washington" pour avoir terrorisé la capitale américaine en tuant au hasard dix personnes en trois semaines, a été exécuté mardi soir par injection mortelle en Virginie (est).
John Allen Muhammad, qui se fit mondialement connaître en 2002 comme le "sniper de Washington" pour avoir terrorisé la capitale américaine en tuant au hasard dix personnes en trois semaines, a été exécuté mardi soir par injection mortelle en Virginie (est).
La Cour suprême avait rejeté lundi le dernier recours de ce noir de 48 ans, condamné à mort en 2004 en Virginie pour une série de meurtres commis entre le 2 et le 22 octobre 2002 dans la région de Washington. Le gouverneur de Virginie, Timothy Kaine, a également refusé mardi de lui accorder sa grâce.
Le condamné, averti lundi au téléphone par son avocat Jonathan Sheldon de l'imminence de son exécution, n'a pas réagi. Cela "ne lui a fait ni chaud ni froid, il ne m'a même pas répondu", a expliqué le juriste à l'AFP. "Il est gravement malade mentalement, il ne fera pas un dernier discours stupéfiant et n'exprimera pas de remords", a prévenu M. Sheldon, "ce sera le même homme délirant (et) paranoïaque". Muhammad se dissimulait dans le coffre de sa voiture pour abattre, au hasard, ses victimes d'une seule balle à l'extérieur de centres commerciaux, d'écoles ou de stations service. Une personne avait été abattue à Washington, six dans l'Etat voisin du Maryland et trois en Virginie. Trois personnes avaient été blessées. Hommes, femmes, enfants, Blancs, Noirs: personne ne semblait pouvoir échapper au tireur, accompagné d'un complice, Lee Boyd Malvo. Âgé à l'époque de 17 ans, ce dernier purge aujourd'hui une peine de prison à vie.
Formé au tir d'élite dans l'armée américaine, John Allen Muhammad avait participé à la guerre du Golfe.
A deux reprises, la police avait retrouvé sur le lieu d'un meurtre, punaisé à un arbre ou dans un sac plastique, des messages du tireur affirmant "Appelez-moi Dieu" ou "Vos enfants ne sont jamais en sécurité nulle part" et réclamant 10 millions de dollars pour arrêter le massacre.
Les deux criminels avaient été interpellés à l'issue d'une longue et éprouvante chasse à l'homme.
L'exécution de John Allen Muhammad intervient sept ans après les faits, une date inhabituellement précoce puisqu'un condamné à la peine capitale patiente en moyenne aux Etats-Unis 12 ans dans le couloir de la mort. Ses avocats ont regretté mardi de ne pas avoir eu le temps d'épuiser tous les recours. "Nous n'avions pas déposé un appel de dernière minute ou un appel extraordinaire, nous faisions notre premier recours devant la Cour suprême", a expliqué Jonathan Sheldon, se disant "déçu".
"Nous avons dû nous dépêcher de faire cet appel parce que les procureurs des Etats utilisent leur droit à fixer les dates d'exécution pour écourter le temps que nous avons", a-t-il détaillé, rappelant que trois juges de la Cour suprême avaient protesté lundi contre ce court-circuitage, alors que la vie d'un homme était en jeu. Les avocats de M. Muhammad demandaient à la plus haute juridiction des Etats-Unis d'examiner le fait que leur client n'aurait pas dû être autorisé à se défendre lui-même pendant une partie de son procès, étant donné son état mental. "C'est une autre vie qui a pris fin. Celle-ci à juste titre", a commenté Steven Moore, dont la soeur Linda figure parmi les 10 personnes abattues par Muhammad.
samedi 7 novembre 2009
Quand j'entends le mot "culture"...
Un enfant sur vingt en Ecosse croit qu'Adolf Hitler était un entraîneur de l'équipe de football d'Allemagne, et 6% pensent que l'Holocauste est une commémoration de la fin de la Seconde guerre mondiale, selon une étude diffusée par une association d'anciens combattants.
L'étude se présentant sous la forme d'un questionnaire à réponses multiples a été effectuée auprès de 2.000 enfants en prévision du 11 novembre, jour anniversaire de l'armistice ayant mis fin à la Première guerre mondiale en 1918.
Les résultats révèlent que la majorité des enfants sondés a une connaissance sommaire des deux guerres mondiales, tandis qu'une importante minorité ignore complètement l'essentiel.
Selon les résultats, 77% des enfants âgés de 9 à 15 ans savent qu'Hitler était le leader du parti nazi, mais 13,5% pensent qu'il a découvert le concept de gravité en 1650 et 5% sont persuadés qu'il a entraîné l'équipe d'Allemagne.
61% des enfants interrogés savent qui était Joseph Goebbels, le chef de la propagande nazie, mais 21% pensent qu'il était "un juif célèbre qui a écrit un journal intime", et 14% croient même qu'il était le ministre britannique de la Défense au début de la Seconde guerre mondiale.
Si 85% savent ce qu'est l'Holocauste, 6% des enfants pensent qu'il s'agit de la commémoration de la fin de la guerre.
Auschwitz a été correctement identifié par 70% des enfants, mais 15% pensent qu'il s'agit d'un parc d'attraction.
L'esprit des enfants est aussi confus sur la question de savoir quel pays a lancé la première bombe nucléaire. Plus de 41% des enfants savent qu'il s'agit des Etats-Unis, mais 31% pensent que c'est le Japon, le pays visé par la bombe A, tandis que 19% croient que c'est l'Allemagne.
"Certaines réponses de ce questionnaire nous ont choqués", a reconnu le Major Jim Panton, directeur de l'association Erskine. "Les écoliers sont le futur de notre pays et il est important pour eux qu'ils apprennent notre histoire" , a-t-il relevé.
Au moins maintenant, on sait pourquoi Domenech a rasé sa moustache^^
vendredi 30 octobre 2009
Les gens sont méchants ( I )
Le joueur de flûte Nicolas Sarkozy, dans son numéro de jeudi dernier, m’a fait penser une fois encore au joueur de flûte de Hamelin, héros d’une des plus célèbres légendes germaniques. On sait que ce « preneur de rats », après avoir débarrassé la ville des hordes de rongeurs qui l’envahissaient, s’estimant mal payé par des bourgeois radins, entreprit de se venger en entraînant la jeunesse de la ville, sous le charme de son instrument, jusqu’au fleuve, où elle se noya. Comme avant elle, les rats. Sarko sait jouer de la flûte comme personne. Sa musique démagogique, entraînant la foule des électeurs, l’a hissé sur le trône. Au bord du fleuve pourtant, où nombreux sont ceux qui déjà se débattent pour échapper à la noyade, le charme a cessé d’opérer. Le flûtiste balade encore son monde le temps d’une émission tout à sa main ; mais dès le générique de fin, on se demande : à quoi bon ce numéro de bateleur, qu’avait-il donc de nouveau à nous dire ? Réponse : rien. Ou plutôt si, une chose concrète, un nouveau cadeau aux patrons, la suppression de la taxe professionnelle. Une décision qui plonge les collectivités locales dans des abîmes de perplexité : avec quoi compenser cette perte sèche pour leurs finances ? Allons, les contribuables, un peu d’imagination !
Faux procès Est-ce la faute de nos trop gentils confrères si rien ne vient perturber le déroulé des communications présidentielles ? Pas de faux procès : ils n’ont guère d’autre solution que de servir de faire-valoir. La mise en scène imposée, dans sa solennité kitch, ne laisse guère d’échappatoire, hors celle de refuser – ce qui serait assez mal vu. Mais, fait-on remarquer, c’est l’Élysée qui a choisi les interlocuteurs du Président, ce sont là des mœurs de république bananière ! Certes ! Mais où a-t-on vu que Sarkozy innove ? C’est ainsi, ne vous déplaise, depuis que la télévision existe. En gros, depuis Charles de Gaulle et son compère Michel Droit (« le fier Sicourbe », comme l’appelait Le Canard, aussi pugnace interviewer qu’adroit chasseur de gros gibier. Paix à ses cendres). C’est toujours au Château qu’on a choisi le jour, l’heure, les modalités des adresses du Prince à ses sujets ; et les noms des chambellans qui auraient l’honneur de lui tenir le crachoir. Ne le répétez pas : il est même un chef de l’État qui a poussé l’audace jusqu’à se faire interroger par deux journalistes du beau sexe qui étaient à la ville les épouses de deux de ses ministres. Non ? Si ! Tonton, pourquoi tu tousses plus ?
Vaches sacrées L’une des deux est en ce moment dans le collimateur des médias – enfin, ceux qui ne pratiquent pas le politiquement correct, nous sommes tout de même encore quelques-uns. Par ricochet, la cible principale étant son fringant époux. La reine Christine, comme on l’appelait du temps de sa splendeur, est toujours femme de ministre, le même. Sauf que celui-ci a changé d’attributions ; comme de camp politique : in extremis, quand s’est dessinée l’issue du duel présidentiel. Ainsi des mouches qui changent d’âne : l’important est qu’on puisse continuer à sucer. Ménélas-Kouchner (l’époux de la reine, poux de la reine) fait l’objet d’une charge virulente, menée simultanément par deux confrères de Bakchich (Stéphane Beau et Xavier Monnier) et par l’écrivain sniper indépendant bien connu, Pierre Péan. C’est surtout le bouquin de ce dernier, porté par l’hebdomadaire Marianne – qui en a publié les bonnes feuilles –, qui fait du potin dans le landerneau politico-humanitaro-médiatique. Réputation de son auteur oblige, même s’il écrit parfois à la truelle [1]. Pour l’essentiel, et en attendant des développements qui ne manqueront pas de venir (quand on tire sur une bonne ficelle, il arrive qu’on dévide toute la pelote), on apprend avec force précisions et détails ce dont on était convaincu depuis lurette sans en avoir vraiment la preuve : Kouchner est nettement plus intéressé par le pognon que par le sort des peuples déshérités (et n’hésite pas à monnayer ses talents auprès des pires dictateurs de la Françafrique) ; Christine Ockrent, sa femme, est moins journaliste que femme d’affaires (on dit d’elle : « femme de ménages », eu égard aux nombreuses prestations privées richement rémunérées qui s’ajoutent à des émoluments officiels pourtant fort grassouillets) ; et ils forment ensemble – surnom : « les Thénardier » – « une PME à l’ombre de la République » selon Bakchich, qui commente : « Rarement, le mélange des genres a atteint de tels sommets ! » Sale temps pour les vaches sacrées !
L’argument qui tue Je n’entre pas dans les détails, qui sont depuis plus de quinze jours sur la place publique ; si vous venez tout juste de débarquer du Vendée Globe, je vous conseille de vous reporter aux sites de Marianne et de Bakchich, en pointe sur le sujet. Je ne m’attarderai pas non plus sur l’aspect politique de l’affaire, et notamment sur les appréciations divergentes que portent Péan et Kouchner sur le génocide rwandais : j’ai envie sur ce point de les renvoyer dos-à-dos (je crois à la complicité française par connivence avec le Hutu-Power et, sans adhérer à la thèse du « double génocide », je ne crois pas que Kagamé soit une blanche colombe innocente…).
Je voudrais juste souligner à quel point me dégoûte le style de défense que s’est choisi M. K. en symbiose avec ses alliés. On attendait en effet que le ministre étranger aux Affaires (sauf aux siennes) réponde des faits précis qui lui sont reprochés : ses liens avec Bongo, avec Sassou, d’autres encore ; les amis encombrants qui gravitent dans son orbite ; les activités de sa femme à la tête de l’audiovisuel français à destination de l’étranger et l’épuration qu’elle y mène, dont sont étrangement victimes des journalistes critiques du ministre son mari… Il y avait, somme toute, bien des choses à dire pour tenter de redorer un blason désormais terni (il n’est pour le moment pas question d’autre chose, la justice n’a pas maille à l’affaire), une réputation de preux chevalier qui tourne au tire-laine après que déjà l’homme de gauche ait revêtu la casaque du néo-con. Bref, plaider le dossier. Il le fait à peine. Au lieu de quoi, et avec toute l’orchestration des habitués de l’argument qui tue (les Val, BHL, Adler, j’en oublie, et même Schneidermann s’y est mis, qu’on n’attendait pas là), c’est un procès en antisémitisme qui est fait à Péan [2]. Le prétexte ? Péan utilise à l’endroit de K. le qualificatif de « cosmopolite » : ce qui renvoie, hurle celui-ci, « aux nostalgiques des années trente et quarante, aux révisionnistes d’hier et d’aujourd’hui… ». Le mot « antisémite » n’est pas prononcé, mais tout le monde a compris : c’est parce qu’il est juif que le médecin sans vergogne est pris à partie par un auteur qui est forcément à ranger dans le rayon des infréquentables judéophobes. Il est des mots, voyez-vous, que vous n’avez pas le droit d’utiliser, et « cosmopolite » en est un. Même si Bernard-Henri Lévy se l’applique parfois à lui-même, pour mettre en valeur son « universalisme ». Oui, mais c’est pas pareil, lui, il est juif, BHL, il a le droit ! Ah, pardon !
Puant Il paraît que ce vieux laïque républicain bon teint de Péan (je le qualifierai volontiers de « gaullo-mitterrandien », voyez, pas vraiment un disciple de Faurisson) est bouleversé par cette accusation infamante qui vise à rien de moins que la mort sociale de celui qui en est sali. Rappelons que dans deux procès récents, dont un où le puant BHL (« puant », j’ai le droit ? Ça veut dire, au sens figuré, « imbu de lui-même, fat, égocentrique », tout ça) est venu faire la roue (« Je n’aurais, pour rien au monde, laissé tomber mon ami Philippe Val », pardi ! Asinus asinum fricat) [3], c’est l’ami Siné qui était sous la douche, lui aussi était mortifié. Dans le premier procès, que le vieux Bob intentait au journaliste chafouin qui s’était permis de qualifier sur RTL sa « zone » de Charlie d’« article antisémite dans un journal qui ne l’est pas », provoquant son renvoi de l’hebdo soi-disant satirique, l’accusé (Sarkolovitch, un nom comme ça) a osé plaider que le fait de dire qu’un article est antisémite n’est pas une accusation d’antisémitisme contre son auteur, plus hypocrite tu meurs ! On verra si le tribunal marche dans cette défense pourrie, en tout cas le procureur a requis la relaxe ! Dans le second procès, celui où paradait BHL, c’est la Licra qui poursuivait Siné, et là, c’est ce dernier qui, si le tribunal suit le réquisitoire, devrait bénéficier de la relaxe. Tout ça pour dire à Péan comme à Bob Siné : bienvenue au club des pestiférés, les gars ! Mais ne vous mettez plus la rate au court-bouillon : à force de l’utiliser à tort et à travers, l’arme de l’accusation d’antisémitisme s’est fichtrement émoussée, et ceux qui en abusent commencent à s’attirer de vertes contre-attaques : par exemple, cette semaine, et contre Kouchner, les papiers bien torchés de Szafran et de Cohen dans Marianne [4]. Cohen, Szafran… Seraient pas un peu antijuifs, ces deux-là ?
On rappellera qui est l’avocat de Charlie-Hebdo : Richard Malka (écurie Kiejman, l’avocat de Kouchner), qui est aussi, parce que rien n’est simple, le coauteur, avec Philippe Cohen, d’une BD très anti-Sarko (la Face karchée…) et qui est encore l’avocat de la « banque des banques » luxembourgeoises, Clearstream, laquelle poursuit notre excellent confrère Denis Robert de sa vindicte inextinguible. En vous invitant une fois encore à l’aider (Denis) en achetant son dernier bouquin, tout en dessins, l’Affaire des affaires, tome 1- L’argent invisible [5], « l’histoire d’un journaliste qui essaye d’informer ses lecteurs dans le monde d’aujourd’hui ». On sait que ce n’est pas tâche facile, et l’on se plaint beaucoup des difficultés de la presse. À mon avis, elle serait moins conformiste et bien pensante, ouvrirait davantage ses colonnes à des Péan et des Robert, arrêterait de prendre ses lecteurs pour des cons incultes et de lécher le cul à des zélites pourries par le fric, que ça irait déjà beaucoup mieux !
mercredi 21 octobre 2009
Si tu vas à Rio ( le retour )
Trois trafiquants ont été tués après avoir ouvert le feu sur les policiers qui menaient des perquisitions dans un bidonville du nord de la ville, a dit un porte-parole de la police.
Quatre ont été abattus par les forces de l'ordre dans d'autres opérations.
Depuis samedi, 27 trafiquants présumés, trois policiers et trois habitants de Rio ont trouvé la mort dans les affrontements.
Les trois policiers tués samedi se trouvaient à bord d'un hélicoptère qui a été abattu par les narcotrafiquants. Il y a deux semaines, Rio a obtenu l'organisation des Jeux olympiques de 2016.
Toutes les permissions ont été suspendues au sein de la police et 3.500 militaires ont été déployés en renfort pour contenir les violences déclenchées par une intervention de la police dans une bagarre opposant deux bandes de narcotrafiquants.
dimanche 18 octobre 2009
Si tu vas à Rio...^^
Deux policiers ont été tués et deux blessés - dont l'un gravement brûlé - samedi matin dans l'explosion de leur hélicoptère, touché par des tirs de fusil de trafiquants de drogue, lors d'une opération dans une favela du nord de Rio, a indiqué Mario Sergio Duarte, commandant de la police militaire lors d'une conférence de presse samedi soir. Dans des échanges de tirs postérieurs avec la police, au cours de la journée, 10 trafiquants présumés ont également été tués et six personnes blessées par balles dont quatre policiers. Après la chute de l'hélicoptère, la police a déployé une centaine d'hommes, appuyés par un véhicule blindé et des soldats d'élite du Bataillon d'opérations spéciales (Bope).
"Je n'avais jamais entendu autant de coups de feu de ma vie", a déclaré une adolescente de 15 ans qui vit dans la favela Morro dos Macacos. "Tous les policiers de la ville sont en état d'alerte" pour renforcer la sécurité, a souligné le commandant Duarte. En représailles à l'opération policière, neuf autobus ont été incendiés dans les quartiers populaires du nord. Le chauffeur d'un bus incendié a déclaré à la presse que quinze hommes armés de fusils et de pistolets, le visage masqué, lui avaient ordonné de descendre et de faire sortir les passagers: "Descends, descends, nous allons mettre le feu!".
"Ces attaques sont un acte de désespoir des trafiquants de drogue qui perdent de l'espace" avec l'intensification des opérations de la police, a affirmé de son côté le secrétaire à la sécurité de l'Etat de Rio, José Mariano Beltrame. La violence urbaine est un problème endémique à Rio, où près de deux millions de personnes, soit un tiers de la population, vivent dans quelque mille favelas. Les crimes font près de 6.000 victimes par an dans l'Etat de Rio qui compte quelque 14 millions d'habitants. C'est l'un des principaux problèmes que devra résoudre la ville qui vient d'être choisie pour accueillir les Jeux Olympiques de 2016.
"Nous menons une lutte permanente contre le trafic. Nous avons dit au Comité olympique international que nous préparons la ville pas seulement pour les JO mais pour après", a déclaré le gouverneur de Rio, Sergio Cabral, samedi soir à la TV Globo. En poste depuis 2007, il a ordonné dès le début de son mandat une offensive massive contre le crime organisé, sans résultats manifestes jusqu'à présent. La police était intervenue dans la favela Morro dos Macacos après d'intenses échanges de tirs à l'aube entre deux bandes rivales de trafiquants de drogue. Les trafiquants d'une favela voisine Morro do Sao Joao essayaient d'envahir le Morro dos Macacos pour en prendre le contrôle. "Nous savions par nos services de renseignements qu'ils allaient envahir la favela mais la dizaine d'accès à la favela a rendu difficile l'action de la police", a souligné M. Beltrame.
Plus que ne semblent vouloir indiquer les rodomontades et approximations mensongères d'un chef de la police, qu'on imagine volontiers huileux, moustachu et encore plus corrompu qu'un élu provençal ( ah, l'Amérique du sud, terre de contrastes^^), cet épisode de violence urbaine constitue une étape sur le chemin du Chaos mondial. Oui, je dis bien le Chaos mondial, cet espèce de fantasme nihiliste qui, de la famille Manson à l'Ordre du Temple solaire, semble être l'ultime objectif de tout un tas de bargeots potentiellement homicides...Objectif parfaitement inatteignable par les propres efforts de ces tarés mais que l'Ultralibéralisme fabrique petit à petit à l'échelle mondiale en instituant la Violence et l'Injustice comme bases du développement "humain"...
Là, on est dans la réalisation du fantasme...C'est du Bilal revisité par Chuck Norris^^Le jumelage avec Bagdad, carrément...On est loin du Rio de carte postale. Enfin, bon, faut comprendre la Municipalité aussi...Si Paris avait eu les Jeux, peut-être aussi qu'il aurait fallu jouer du lance-flamme le long du Canal Saint-Martin, qui sait ?
samedi 17 octobre 2009
Halloween rises again
M. Zayed présentait une blessure par balle à la tempe et le bureau du shérif de Los Angeles a indiqué au L.A. Times pencher pour la thèse du suicide.
jeudi 15 octobre 2009
Y'a d'la joie...
Bien sûr, les Ritals, avec cette fourberie répugnante qui est une des caractéristiques de leur race^^(1 ), nient absolument s'être livré à ce genre d'arrangement plus que limite...On fait la guerre au terrorisme ou on est parti faire du camping entre potes ? Faudrait savoir à la fin...
Oh, bien sûr, nous pourrions évoquer les Condottieri de la Renaissance, plus préoccupés de conserver leurs troupes intactes que de livrer combat à la rustique...Ou encore les entrechats de Badoglio en septembre 1943...Mais ça serait un peu mesquin de choisir des exemples historiques aussi tendancieux, non, vous ne trouvez pas ?^^
(1) = Lourd passif génétique que les Historiens semblent expliquer par de multiples invasions auvergnates...Et l'expression massive de la libido de bonobos de ces gens-là^^
mardi 13 octobre 2009
Si les Ricains n'étaient pas là...
Place aux jeunes^^
Dans Libération, Laurent Joffrin doute que la nomination de Jean Sarkozy qui "s'est surtout donné la peine de naître ... doive tout à son mérite et rien à son patronyme?".
De toute les façons, nous dit François Martin, du Midi libre, "le fils Sarkozy ... possède les vertus cardinales que son père vante devant le bon peuple. Le mérite. Le travail. L'exemplarité...". "Il a l'avenir devant lui et son papa derrière", fulmine Jean-Marcel Bouguereau (La République des Pyrénées).
"Il faut surtout se poser la question de savoir pourquoi aucun des proches du chef de l'État n'a eu l'idée ou le courage de lui susurrer à l'oreille qu'il commet une erreur en adoubant ainsi son héritier", écrit, dans Le Courrier de l'Ouest, Emmanuel Caloyanni. Pour Paris Normandie (Michel Lepinay), "les effets de cour sont toujours terribles. Ils font perdre le sens du réel, et conduisent aux plus graves erreurs". "En dépit de toutes les explications alambiquées fournies hier par les conseillers et ministres (...) la cause est indéfendable", écrit-il encore. Louis XIV disait "l'Etat c'est moi", rappelle Patrick Fluckiger (L'Alsace). "Mais attention, c'était avant la Révolution!".
D'autres titres, s'indignent de l'image que cela donne de la France à l'étranger. Dans La Charente Libre, Jacques Guyon note que "les médias étrangers fustigent une +république bananière+". Xavier Panon (La Montagne) souligne que "Jean, lui, peut déjà se flatter d'être maintenant connu jusqu'en Chine!". Moins sévère, Jean-Louis Denes, dans l'Est Républicain se contente de remarquer que "la prétention du Dauphin fait rire et sourire la presse du monde entier."
Jacques Camus, de La République du Centre, estime que "la grande politique est en train de perdre ses lettres de noblesse". Tout comme Gérard Noël qui, dans Vosges Matin, regrette qu'il y ait "quelque chose qui ne tourne pas rond dans la politique française".
Hervé Chabaud, de L'Union est bien seul à défendre Jean Sarkozy en rappelant qu'il a été "élu conseiller général des Hauts-de-Seine au suffrage universel". "Même si à Neuilly, c'était facile, il a été choisi par les urnes." Avec une ironie mordante, Francis Brochet, dans le Progès de Lyon prend aussi la "défense" du jeune homme et de son père: "Le népotisme condamne la promotion des neveux du pape, or Nicolas Sarkozy n'est pas pape, ni Jean son neveu. Pas qualifié pour le poste ? A 23 ans, Jean Sarkozy a fait presque deux années de droit ... Affairiste ? Jean Sarkozy bénéficie du parrainage de Patrick Balkany et Charles Pasqua, ce qui devrait faire taire tous les soupçons".
vendredi 9 octobre 2009
L'effet Obama, le retour
jeudi 8 octobre 2009
les Satrapes-nigauds
Place à la Droite soissantuitarde, jouissive et sans entraves, plus besoin de se cacher du bas-peuple, de lui imposer notre morale castratrice. Au contraire, vendons-lui nos turpitudes...Gala, Closer et toutes ses revues à la con, c'est quoi à part une éjaculation faciale dont le lumpenprolétariat décérébré se lèche les babines entre deux licenciements massifs ? Ah ça va mieux, je m'énerve^^ Ils me font soudainement penser à ses gouverneurs de l'ancien empire perse qu'on appelait les satrapes, avides de s'enrichir le plus rapidement possible sur le dos de leurs administrés ( non, non, maintenant, c'est mal^^) et qui profitaient de l'éloignement du pouvoir central pour mener la riboulboche à grand train...Ce qui a consacré l'expression " personne qui mène une vie fastueuse et qui exerce une autorité despotique"...
D'autant plus despotique qu'exercée par des ignares dénués de tout sens commun et encore moins d'instinct stratégique...Les satrapes-nigauds...Si le Frédéric Mitterand passe pour un parangon de culture au milieu des Pygmées de l'érudition qui composent notre actuel gouvernement, c'est qu'il est un peu comme Frank Ribéry au milieu d'une équipe de culs-de-jatte, il a pas besoin de trop forcer son talent^^Bref, encore un grand moment de culture...