mercredi 5 novembre 2008

la country-music

Il est de bon ton à l'heure actuelle, dans certains milieux, de professer un mépris souverain pour tout ce qui s'apparente à la culture traditionnelle nord-américaine...






On sait d'où viennent ces préjugés absurdes car à laisser libre-cour au verbiage propagandiste de toute une cohorte d'enseignants marxistes, de gratouilleurs de guitare chevelus et de sociologues à l'hygiène corporelle douteuse, on récolte ce que l'on sème...L'ignorance au service d'une volonté totalitaire !!!



Certes, cette attitude négative repose aussi en partie sur l'analyse superficielle d'une réalité pas forcément reluisante : cette grande nation ne venant-elle pas d'élire un sémillant métis dont un des patronymes ( Hussein ) est d'un usage plus répandu chez les dictateurs moustachus moyen-orientaux que chez les braves détenteurs d'armes à feu du Middle-west, ne redoutant que Dieu, le Rap et les contrôles fiscaux ?



Nonobstant le fait que cet individu soit un démagogue patenté, qu'il ne connaisse rien à la filmographie de John Wayne et arbore un bronzage savamment dosé à l'exemple d'un Président de petite taille, amateur de Rollex, de jogging et de séances d'U.V prolongées, il n'y a plus rien à en dire. Les ravages de la Démocratie sont désormais connus de tous...Ainsi que l'effarante tolérance que ce système d'une veulerie proprement hallucinante nous contraint à affecter publiquement face aux goûts capillo-vestimentaires d'une part sans cesse grandissante de notre jeunesse !!!



Mais n'y a-t' il pas là matière à réflexion ? Voire à une réaction salvatrice menée avec cette pertinence lettrée, cette clairvoyance courageuse et cette virile énergie conservatrice qui caractérise les éditoriaux de Claude Imbert dans le Point ?

Quand on songe à l'ouvrage titanesque accompli depuis 4 siècles par un peuple qui n'était au départ constitué que de fanatiques religieux, détenus de droits communs et autres prostituées syphilitiques anglophones, avant d'être rejoints progressivement par des brutes analphabètes irlandaises, des africains de mauvaise volonté et quelques italiens méridionaux dotés d'un solide sens des affaires et de la famille...

Sans parler des agriculteurs germaniques, des israélites polono-russes ne goûtant pas l'humour cosaque, des mexicains sauteurs de barrière, des cubains brevetés en natation et d'au moins un body-builder autrichien ambitieux...On frémit du résultat !!!


Alors, sincèrement, ne peut-on un instant laisser de côté une jalousie malsaine uniquement fondée sur l'incapacité congénitale du mangeur de grenouille moyen ( carence reconnue de longue date dans le monde entier ) à se hisser au niveau des réalisations américaines ?



Et reconnaître, toute honte bue, que la country-music est un des plus attrayants domaines où se puisse exercer le génie humain ?

2 commentaires:

L'écailleur a dit…

Sincèrement, as tu déjà bander une fois en voyant un pataud quadrille de country réalisé par un quarteron de gardiens de vaches avinés (pardon, houblonnés) et par une douzaine d'adipeuses souffleuses de pop corn gonflée au mauvais soda et au dégoulinant hamburger ? Non. Moi non plus ! La Country américaine, c'est notre bourrée à nous. Ça égaie les bals populaires et les fêtes de village comme une vieille machine agricole qu'on sort de la grange à papy exceptionnellement, mais tout le monde s'en fout et trouve ça nul à part bien sûr les trois cars en provenance des clubs du 3ème age de Saint-Léger de la Martinière, Mouilleron en Pareds et St Germain sur Moine.
Non, vraiment, à part le solo de banjo du film "Délivrance" avant d'entendre l'autre couiner comme une truie (j'arrête, ça m'excite), c'est plus fort que moi ! Dès que j'entends un seul accord de Johnny Cash ou Willie Nelson, j'ai envie de tuer quelqu'un et de me laver les oreilles en mettant à fond le dernier Kyo (qu'est déjà bien vieux d'ailleurs).
Et même si je dois être banni de ce blog, m'en fous, j'ai pas peur de le dire, la country, c'est une musique de dégénérés adorateurs de Mc Cain (pas les frites, l'autre, Budweiser, celui dont on ne se souviendra plus dans deux mois et qui fera un entrefilet à sa mort dans le New-York Times coincé entre une brève sur la baisse du cours de la betterave et le lancement d'un "Love Donuts" de Santa Anna).

phacochere a dit…

Bon. L'info est confirmée : l'écailleur est un des principaux chefs d'Al-Qaida Poitou...